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jeudi 27 octobre 2011

Airtel introduit la 3G au Congo Brazza, une première en Afrique centrale!!

La compagnie de téléphonie mobile indienne Airtel a lancé la première plate-forme 3G en Afrique centrale mardi 25 octobre, la République démocratique du Congo lui ayant octroyé une licence. «Cette toute nouvelle technologie renforcera la fonctionnalité multimédia, le haut débit Internet mobile et l'accès à Internet», indique la firme indienne présente dans dix-neuf pays africains et asiatiques.
En RDC, le premier opérateur a avoir pu décrocher le sésame est Orange le vendredi dernier et qui devra commencer réellement son activité au début de l'année prochaine sur les empreintes du 4ème opérateur qui est CCT qu'il vient de racheter. Il est vrai que les opérateurs traditionnels tels que Airtel, Vodacom, Tigo sont quelque peu en retard sur l'acquisition de cette licence sur papier, mais le seront peut être moins dans le déploiement, étant donné leur assise sur le terrain. Mais le hic, c'est qu'il n'y a que 3 licences 3G disponibles...l'un des 3 premiers opérateurs pourrait rester sur le carreau!..Lequel entend céder sa place? A suivre...

vendredi 21 octobre 2011

France Télécom-Orange annonce l’acquisition de Congo Chine Télécom, quatrième opérateur de RDC

Le groupe France Télécom Orange a officialisé jeudi 20 octobre l’acquisition, en RDC, de l’opérateur Congo Chine Télécom (CCT) pour environ 143 millions d’euros. Il était auparavant détenu par l’équipementier chinois ZTE (51%) et l’État congolais (49%). L’essentiel de ce montant correspond à une augmentation de capital, puisque les ex-coactionnaires ne toucheront, à eux deux, que 12 millions d’euros. Grâce à la présence de ZTE, France télécom bénéficie en outre d’un refinancement avantageux de la dette de CCT (environ 120 millions d’euros) par la banque chinoise de développement.
Bonne opportunité
En 2011, CCT, modeste quatrième opérateur sur son marché (15% des abonnés) derrière Vodacom, Airtel et Tigo, devrait réaliser un chiffre d’affaires de 68 millions d’euros. Pour les observateurs, cet accord constitue néanmoins une bonne opportunité pour France télécom dont l’ambition est d’atteindre 7 milliards d’euros de revenus  dans les pays émergents d’ici 2015. La RDC, quatrième pays du continent par sa démographie, représente un important réservoir de croissance compte tenu de la faible pénétration du téléphone portable (17%) et du potentiel de son économie.
Pour son arrivée en RDC, France Télécom a, par ailleurs, négocié la prolongation de la licence 2G et l’obtention d’une licence 3G (internet mobile) contre un chèque de 52 millions de dollars, financé en partie par CCT. 
Source Jeune Afrique

vendredi 14 octobre 2011

Toujours plus de lecteurs de journaux sur papier que sur Internet

Les journaux imprimés sont lus par 2,3 milliards de personnes à travers le monde chaque jour pendant que 1,9 milliard de lecteurs s'informent sur Internet, selon La Fédération mondiale des quotidiens (World Association of Newspapers). La presse écrite conserve aussi l'avantage des recettes publicitaires, même si elles ont diminué d'un quart entre 2004 et 2009. Elles ont baissé de seulement 3% l'année suivante, voire légèrement augmenté en Europe de l'Ouest, aux Etats-Unis et dans la zone Asie-Pacifique. La Fédération a décompté 14 853 titres en 2010, soit environ 200 de plus qu'en 2009, et a constaté une légère chute du tirage global de 9 millions d'exemplaires.


Pour ce qui est des statistiques de la RDC c'est le flou absolu. Impossible de suivre avec exactitude l'évolution des publications et c'est à croire que ça n'intéresse personne au ministère de la Communication, dont les conférences de presses à la télévision sont légion. La distribution des journaux au Congo est réellement un souci qui empêche les journaux à vocation nationale d'être lu à travers toute la république. Les éditeurs privés essaient tant bien que mal  de monter des structures de distribution propres, mais il faut avouer que cela coûte cher, le retour sur investissement est quasi nul, vu l'étendue du pays et que l'aide de l'Etat est requis à ce propos. Encore faut-il que les dirigeants comprennent que ceci fait partie du chantier "Education" et que s'appeler République Démocratique du Congo est également un challenge sur la démocratisation de l'accès à l'information. A suivre...